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Thérèse Pleau
Memorial Candle Tribute From
Cooperative Funeral Home
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Obituary for Thérèse Pleau (Lambert)

Thérèse  Pleau (Lambert)
Thérèse est née le 3 octobre 1942 à Lamorandière, Abitibi. Elle avait 6 frères et 3 soeurs.

Quand elle était jeune, elle était un garcon manqué. Elle aimait beaucoup le hockey. Il y avais seulement 6 équipes et chacun de ses frères avait leur équipe. Son équipe c’était les Red Wings de Détroit. Elle aimait beaucoup Gordie Howe et elle a encore des albums de coupures de journaux des années ‘60. Elle avait son chandail des Red Wings et regardais religieusement tous leurs matches. S’il jouait à Montréal ou à Ottawa, elle essayait toujours d’y aller.

Quant elle était jeune ma grand-mère voulait tellement avoir un prêtre dans la famille. Question d’avoir une ligne directe au ciel. Alors tous les garçons devaient aller à l’école.

Elle était la 3ième plus vielle mais parce qu’elle était une fille, elle devait travailler pour permettre aux garçons d’aller à l’école. Ma mère aimait tellement l’école. Elle travaillait à Amos pour le pensionnat ensuite chez les Perignys qui était la famille riche d’Amos. Elle prennait soins de leur enfants: Robert et Lyne. Evidemment, elle aimait beaucoup leur noms.

Un jour elle en avait assez et a quitter son emploi et a dit à son père qu’elle voulait allez à l’école. Mon grand-père était assez sévère mais il a accepté jusqu’à ce qu’il n’avait plus d’argent alors encore une fois elle devait retourner travailler.

Son rêve était d’être une infirmière. Elle a persévéré et quand elle a eu l’occasion, elle est retournée aux études. Finalement elle a gradué comme infirmière auxiliaire.

Elle avait un autre rêve. C’était d’apprendre l’anglais. Elle écoutait des tourne-disques pour apprendre. Un jour elle a décidé d’appliqué à l’hôpital d’Hamilton avec sa compagne de classe, Carmen Pleau.

Elles ont eu l’emploi mais elles sont arrivés à l’hôpital avec leur bagages en mains et elles ne parlaient pas un mot d’anglais et eux ne parlaient pas un mot de français. L’hôpital les a dirigé au YWCA pour prendre une chambre. A l’hôpital, les autres infirmières étaient découragées. Elles leur ont enseignées à au moins répondre au téléphone: “Wait a minute please” et aller chercher quelqu’un.

Mais encore une fois, elle a persévéré et elle a appris l’anglais.

Sa compagne Carmen avait un frère qui travaillait dans le sud de l’Ontario. Ils se sont recontré et Carmen se demandait pourquoi son frère écrivait des lettres à Thérèse. Ce fut le coup de foudre et le début d’une histoire de 53 ans de marriage. Elle a eu Robert, ensuite un ans plus tard, je suis née.

Elle a toujours aimé son travail d’infirmière. Elle aimait prendre soins des gens et même quand elle a pris sa retraite, elle a continué de faire du bénévole pendant plusieurs année en soins palliatifs. Elle avait un don d’encourager les malades et ceux qui souffraient.

Moi et Robert, on a pas toujours fait des bons choix ou des choix avec lesquelle elle était d’accord mais elle a toujours été là pour nous. Elle nous a aimer jusqu’au bout.
Elle aimait aussi ses petites filles, Emily et Micaela. Elle était une grand-mère généreuse et attentionée.

Elle était forte jusqu’au bout et était une femme de grand foi. Elle était en paix avec ce qu’il lui arrivait et a traversé la mort avec assurance et confiance en Dieu.

Elle avait une citation qu’elle aimait: “La vie est un cadeau de Dieu; ce que nous en faisons est notre cadeau à Dieu.” Sa vie était un cadeau à Dieu et à tous ceux qui ont eu le privilège de la côtoyer.
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